L'itinéraire intérieur de Guillaume de Saint-Thierry [Texte imprimé] : essai sur "L'énigme de la foi", 1143 / Michel Corbin,...
Langue : français.Pays : France.Publication : Paris : les Éditions du Cerf, DL 2019 • 45-Malesherbes : Impr. EPAC technologiesDescription : 1 vol. (202 p.) ; 23 cmISBN : 978-2-204-13291-6.Dewey : 234.23, 23Classification : Résumé : Dans la littérature monastique du XIIe siècle qui clôt l'ère patristique, il y a deux admirables traités sur la foi chrétienne : Le Miroir de la foi et L'Énigme de la foi que Guillaume, alors simple moine de l'abbaye cistercienne de Signy, publia en 1143 pour répondre à certaines propositions étranges de Pierre Abélard. Si le premier se déploie selon la manière ancienne, latine ou grecque, de confesser la Trinité ou l'Excès de Dieu, le second se confronte à la théologie trinitaire plus tardive d'Augustin. Après l'avoir exposée, il en montre si clairement la faille qu'il permet un retour à une Tradition qui n'oubliait jamais que, dans les Écritures, le nom du Fils éternel de Dieu est « le Seigneur Jésus », dont l 'Esprit est donné à l'Église comme l'Amour même du Père et du Fils. Une telle audace suppose une exceptionnelle liberté intérieure, et ce livre tente d'en esquisser le chemin de croissance..Sujet - Auteur/titre: Guillaume de Saint-Thierry 1085?-1148? Aenigma fidei Autres catalogues : BnF/SUDOCType de document | Site actuel | Cote | Statut | Date de retour prévue | Code à barres | Réservations |
---|---|---|---|---|---|---|
![]() |
Couvent Saint-Nom Magasin principal | 2292.GUIL.107 (Parcourir l'étagère (Ouvrir ci-dessous)) | Disponible | 2292.GUIL.107 |
Bibliogr. p. 201-202. Index
La couv. porte : "Cerf patrimoines"
Dans la littérature monastique du XIIe siècle qui clôt l'ère patristique, il y a deux admirables traités sur la foi chrétienne : Le Miroir de la foi et L'Énigme de la foi que Guillaume, alors simple moine de l'abbaye cistercienne de Signy, publia en 1143 pour répondre à certaines propositions étranges de Pierre Abélard. Si le premier se déploie selon la manière ancienne, latine ou grecque, de confesser la Trinité ou l'Excès de Dieu, le second se confronte à la théologie trinitaire plus tardive d'Augustin. Après l'avoir exposée, il en montre si clairement la faille qu'il permet un retour à une Tradition qui n'oubliait jamais que, dans les Écritures, le nom du Fils éternel de Dieu est « le Seigneur Jésus », dont l 'Esprit est donné à l'Église comme l'Amour même du Père et du Fils. Une telle audace suppose une exceptionnelle liberté intérieure, et ce livre tente d'en esquisser le chemin de croissance.